À l’époque de la Nouvelle-France, il était pratique courante de purifier l’air ambiant avec des huiles et du parfum. Les Augustines, comme les médecins, croyaient alors que le « mauvais air » était fatal pour la santé. Les carnets de l’apothicairesse regorgent d’ailleurs de recettes pour fabriquer divers « parfums de sanctuaire » et autres eaux de Cologne. D’hier à aujourd’hui, l’aromathérapie a donc toujours fait partie des ressources utilisées par les Augustines. La brume d'ambiance 1639, élaboré par Aliksir Huiles essentielles, poursuit la tradition. Concocté de main de maître, le complexe 1639 marie les notes acidulées du pamplemousse, l’odeur envoûtante de l’anis et les effluves boisés du thuya aux bienfaits de l’eucalyptus et de la cardamome.